Le mois de janvier 2021 a été le théâtre d’une première en Principauté. Jusqu’ici, jamais un institut public n’était entré au capital d’une société privée. Le Centre Scientifique de Monaco (CSM) a fait sauter le verrou et a peut-être ouvert la voie à d’autres ? L’avenir nous le dira. Mais lorsque le CSM a accepté d’entrer au capital de la start-up Coraliotech, il y avait une sorte de flou juridique. « Cela n’a pas été un parcours facile. Tout un travail de discussions, pour voir si c’était possible ou pas, a été nécessaire », révèle Rachid Benchaouir, fondateur et P.-D.G. de la jeune société. De longues semaines de concertation, avec l’implication « des juristes du gouvernement ». Une fois la validation juridique reçue, la démarche s’est enchaînée. « Toutes les étapes ont dû être validées par le Conseil d’administration du CSM et par la tutelle. C’est comme cela que le 11 janvier dernier, nous nous sommes tous réunis pour acter de façon officielle cette entrée au capital. »
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